Les chercheurs de la WSU recherchent le carbone

Journaliste du personnel

Climatiseur Trane au sol Tempe, Arizona.

(La Place du Centre) – Au milieu de dizaines de milliers d’acresen feudans la partie orientale de l'État de Washington et le Département de l'Écologie de l'État déclare un record procheconditions de sécheresse, des chercheurs de l'Université de l'État de Washington ont construit une installation d'essai pour rechercher des moyens sans carbone de réduire les températures.

Les chercheurs universitaires espèrent que ces méthodes de refroidissement permettront d’améliorer les conditions de vie sans contribuer au changement climatique.

"Trouver des méthodes de refroidissement qui ne nécessitent pas de rejeter davantage de gaz à effet de serre dans l'air est crucial pour aider une population croissante à s'adapter au changement climatique", Omar Al-Hassawi, auteur principal d'une étude.étudesur les systèmes de refroidissement passifs paru dans la revue Energies, a racontéInsider de la WSU.

Un système de refroidissement passif utilise des sources d’énergie gratuites et renouvelables telles que le soleil et le vent pour répondre aux besoins de refroidissement, de ventilation et d’éclairage d’une structure. Cela élimine le besoin d’utiliser un refroidissement mécanique.

« Le refroidissement est de plus en plus demandé dans les bâtiments, en particulier à mesure que le climat se réchauffe », a déclaré Al-Hassawi, professeur adjoint à l'École de conception et de construction de la WSU. « Il pourrait y avoir des systèmes mécaniques, mais comment pouvons-nous commencer par refroidir les bâtiments – avant de compter sur les systèmes mécaniques ?

Ces systèmes mécaniques sont des systèmes plus traditionnels de chauffage, de ventilation et de climatisation, ou CVC, qui peuvent être considérablement gourmands en énergie.

« Répondre aux charges de refroidissement des locaux avec des systèmes passifs plutôt que des systèmes de climatisation mécaniques actifs peut jouer deux rôles importants. Le premier consiste à réduire les charges pesant sur les réseaux électriques, et le second à réduire ou à éliminer les émissions de carbone associées à la production d'énergie en raison de l'utilisation accrue du refroidissement mécanique actif », peut-on lire dans l'introduction du document d'Al-Hassawi.

L'installation de test de WSU est totalement indépendante du réseau électrique. Il se compose de conteneurs d'expédition équipés de batteries solaires capables de chauffer la chambre à une température de 125 et 130 degrés Fahrenheit toute l'année pour tester diverses méthodes de refroidissement passif.

Les chercheurs ont calibré la chambre sur la base des résultats d'une expérience à grande échelle menée sur un système de refroidissement passif à courant descendant testé dans les conditions chaudes et sèches de Phoenix, en Arizona.

Les bâtiments du monde entier utilisent près de 12 % de l’approvisionnement mondial en électricité pour rester frais, selon les chercheurs, avec près de 90 % des maisons et des appartements résidentiels utilisant des systèmes CVC mécaniques traditionnels. Cela se traduit par d’importantes économies d’énergie potentielles grâce à la technologie de refroidissement sans carbone.

UNétude récentesur le code de l'énergie de l'État de Washington a révélé que la consommation d'énergie de référence de l'État d'Evergreen pour le refroidissement est nettement inférieure à 12 % parce que la climatisation, en particulier dans la partie ouest de l'État, n'est pas largement utilisée.

Les systèmes de refroidissement CVC traditionnels représentaient 2 à 4 % de la consommation d'énergie à Washington, selon l'étude. Même l'ajout de ventilateurs à l'équation ne fait qu'augmenter le nombre entre 6 et 7 % dans le haut de gamme, la moyenne étant d'environ 5 %.

En d’autres termes, le climat de Washington n’est pas idéal pour tester des méthodes de refroidissement sans carbone.

Néanmoins, Al-Hassawi prévoit que les étudiants testent des prototypes de leurs propres conceptions cet automne et espère trouver des partenaires industriels pour tester de nouvelles innovations dans les systèmes de refroidissement passifs au cours de l'année à venir.

Le financement de la recherche provenait, en partie, de la subvention de démarrage interne de la faculté de conception et de construction de la WSU.programme.

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